Au revoir et merci
1) Merci, pour commencer.
Merci à celles et ceux qui ont lu et soutenu ce blog par leur présence. Qui ont critiqué et discuté les idées sans agresser les personnes. Qui ont raconté, proposé, encouragé, expliqué sans juger ni persifler. Qui ont consolé et réconforté. Qui se sont révélé(e)s sans s’étaler. Qui ont parfois, ou souvent, pris beaucoup de place, mais avec sincérité.
Merci, du fond du coeur, c’était un vrai plaisir de vous lire et de partager ce blog avec vous.
2) Merci et au revoir : PsychoActif va s’interrompre quelque temps.
Pour des raisons logiques : usure, fatigue, contrainte liées aux billets quotidiens.
Et par constat, aussi, que le système que je souhaitais ne marche pas parfaitement : il y a trop d’énervements, trop de souffrances provoquées par les discussions. Trop d’invectives et d’agressions envers les personnes. Ce n’est pas ce que je voulais pour PsychoActif : j’aurais préféré qu’on y discute des idées proposées dans le billet puis le débat, et non qu’on agresse celles et ceux qui les proposaient.
3) Cela va nous faire du bien à toutes et à tous d’aller prendre un peu l’air ailleurs. Pour ma part, je garderai un très bon souvenir de notre aventure intellectuelle et émotionnelle commune. J’ai appris beaucoup de choses, vraiment. J’ai lu et savouré les encouragements. J’ai médité les critiques. J’ai cherché à comprendre les agressions. J’espère qu’il en a été de même pour vous.
Le Printemps est devant nous, les jours rallongent déjà , la vie est belle, le monde est grand : il y a beaucoup à découvrir. Nous allons nous régaler.
Portez-vous bien.
À bientôt, j’espère.
Et à nouveau : merci beaucoup.
PS 1 : je réfléchis à une nouvelle formule pour PsychoActif, qui redémarrera sans doute au Printemps, ou à l’Automne, ou plus tard. Dans tous les cas, je continuerai de signaler publications, conférences et rencontres dans la colonne des actualités, à votre droite.
PS 2 (20 février 2011) : merci pour toutes vos réactions amicales ; je ferme maintenant l’espace des commentaires, qui n’a plus lieu d’être.