Thérapie
« Qu’importe la thérapie, pourvu qu’on n’ait plus la détresse ! »
C’est un de mes patients, Philippe, qui m’a offert cette maxime en cadeau, pastichant Alfred de Musset (souvenez-vous : «Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse»).
« Qu’importe la thérapie, pourvu qu’on n’ait plus la détresse ! »
C’est un de mes patients, Philippe, qui m’a offert cette maxime en cadeau, pastichant Alfred de Musset (souvenez-vous : «Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse»).